« Le tacle, un geste technique qui peut être un art quand il touche à la perfection. Il est autorisé, même dans la surface de réparation, à la condition que l'auteur n'arrive pas les deux pieds décollés sur le porteur du ballon; à la condition encore que l'intégrité physique du joueur ne soit pas mise en danger. Martin Hansson a cru et a interprété le contraire. Le tacle de Souleymane Diawara a été viril, engagé, spectaculaire, mais propre et a rempli les conditions requises pour éviter une sanction sévère. L'Olympien n'est pas arrivé avec les deux pieds décollés, mais a glissé avant d'entrer en contact avec le ballon.
Pour imager la scène, nous pourrions écrire qu'il s'est agi d'un tacle de Ligue des champions, avec un engagement adapté à ce genre de rendez-vous. Le ballon a bien été la cible prioritaire puisqu'il est parti sans ménagement vers les panneaux publicitaires. Cristiano Ronaldo a tenté l'intox et a réussi dans son entreprise. » (Source La Provence)
« Il n’y avait pas penalty. L’arbitre a attendu vingt minutes avant de siffler une faute pour nous. En plus, nous avons une double sanction. Pourtant, il y avait de la place pour réussir. »
« J’éprouve de la tristesse, beaucoup de tristesse. On s’est plantés sur le premier but du Real. Ensuite, tout a basculé. (...) On a bien respecté les consignes du coach. On a tenu le choc, mais bon. Quand tu ne marques pas contre une équipe comme le Real, forcément, tu t’exposes et tu finis par le payer cher. (...) On a fait deux bons premiers matches, mais la Ligue des Champions, c’est impitoyable : tu fais une erreur et voilà... (...) Ce que je peux vous dire c'est qu'on se battra jusqu’au bout ».
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