Après les déclarations de José Anigo dans la Provence, je ne suis pas certain que tous les esprits seront concentrés sur la rencontre.
Extrait de la déclaration:
Dans une interview à La Provence, samedi, José Anigo, le directeur sportif de l'Olympique de Marseille a eu des propos assez durs qui pourrait provoquer quelques remous chez le champion de France en titre. A l'égard de qui ? Anigo ne vise personne directement, mais ses piques semblent bel et bien s'adresser à Didier Deschamps, même s'il assure que leurs relations permettent de «travailler correctement», et à l'agent de l'entraîneur de l'OM, Jean-Pierre Bernès. «J'ai un poste convoité. J'ai mis du temps pour le comprendre mais j'ai localisé la ou les personnes qui ont intérêt à me faire partir», a lâché Anigo, encore un peu aigri par le mercato estival agité de l'OM. «POUR ÊTRE POLI, JE DIRAI QUE J'AI ÉTÉ OUBLIÉ» «Nous avons vécu au ralenti. J'ai juste attendu le bon moment, celui où l'on est venu me demander ce que je pensais. Pour être poli, je dirai que j'ai été oublié. Moi, comme Antoine Veyrat (le directeur général), d'ailleurs. Nous sommes ressortis du placard durant les quinze derniers jours», regrette-t-il, avant d'insister, de manière un peu mystérieuse, sur son rôle et son domaine de compétence : «Ma compétence s'arrête aux frontières du sportif. Tous les paramètres financiers sont du ressort de Jean-Claude Dassier et Antoine Veyrat.»
Nul n'a souhaité pour l'heure réagir officiellement au club, prolonge L'Equipe Dimanche, qui précise toutefois que Jean-Claude Dassier va demander une explication de texte à l'ancien Minot. Dès ce dimanche à Lille où l'OM affronte le LOSC en clôture de la 10e journée (21h00).
Après les déclarations de José Anigo dans la Provence, je ne suis pas certain que tous les esprits seront concentrés sur la rencontre.
RépondreSupprimerExtrait de la déclaration:
Dans une interview à La Provence, samedi, José Anigo, le directeur sportif de l'Olympique de Marseille a eu des propos assez durs qui pourrait provoquer quelques remous chez le champion de France en titre. A l'égard de qui ? Anigo ne vise personne directement, mais ses piques semblent bel et bien s'adresser à Didier Deschamps, même s'il assure que leurs relations permettent de «travailler correctement», et à l'agent de l'entraîneur de l'OM, Jean-Pierre Bernès. «J'ai un poste convoité. J'ai mis du temps pour le comprendre mais j'ai localisé la ou les personnes qui ont intérêt à me faire partir», a lâché Anigo, encore un peu aigri par le mercato estival agité de l'OM.
«POUR ÊTRE POLI, JE DIRAI QUE J'AI ÉTÉ OUBLIÉ»
«Nous avons vécu au ralenti. J'ai juste attendu le bon moment, celui où l'on est venu me demander ce que je pensais. Pour être poli, je dirai que j'ai été oublié. Moi, comme Antoine Veyrat (le directeur général), d'ailleurs. Nous sommes ressortis du placard durant les quinze derniers jours», regrette-t-il, avant d'insister, de manière un peu mystérieuse, sur son rôle et son domaine de compétence : «Ma compétence s'arrête aux frontières du sportif. Tous les paramètres financiers sont du ressort de Jean-Claude Dassier et Antoine Veyrat.»
Nul n'a souhaité pour l'heure réagir officiellement au club, prolonge L'Equipe Dimanche, qui précise toutefois que Jean-Claude Dassier va demander une explication de texte à l'ancien Minot. Dès ce dimanche à Lille où l'OM affronte le LOSC en clôture de la 10e journée (21h00).